Les animaux n’ont pas le cerveau constitué de la même manière que le nôtre.

Nous disposons tous d’un cerveau reptilien ou dit primitif qui assure les comportements primitifs comme boire, manger, dormir, avoir peur ou fuir. C'est la survie de l'animal dans son environnement.

D’un cerveau limbique est le siège des émotions (peur, joie, tristesse, colère ...) de la mémoire à long terme, de l'apprentissage. Le cerveau de l'animal mémorise les sensations et ressentis et permet donc l'apprentissage. Grace à la mémorisation d'évènements passés, ils peuvent mieux s'adapter à leur environnement et aux dangers.

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Mais les humains, les primates, les dauphins et les baleines disposent en plus d’un néocortex (siège de l’intellect). Il permet la projection dans le futur (impossible à faire avec les 2 premiers cerveaux) et le processus d'analyse logique des évènements passés. Le néocortex permet de faire face à des problèmes et les résoudre en trouvant une solution adaptée.

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La plupart des animaux agissent donc :

- soit parce que leur cerveau reptilien leur dicte une réaction nécessaire à leur survie (manger, sursauter à une surprise, se reproduire, …)

- soit parce qu’une émotion s’est créée dans le cerveau limbique (joie, tristesse, affection…)

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Ce sont des êtres profondément émotionnels. Toutefois, ils ne disposent pas de la parole pour pouvoir exprimer leurs émotions ou leurs besoins. Chaque trouble émotionnel ne peut donc être exprimé que par le biais d’un comportement ou celui de maux.

Tout ce qui n'est pas exprimé, s’imprime. La maladie signifie littéralement "le mal a dit".

Un comportement inapproprié, une peur soudaine sont souvent dus à un choc émotionnel ou à la mémoire d’une ancienne douleur physique...

Exemple : un abandon, une arrivée dans un nouveau lieu ou nouveau foyer, un traumatisme, un choc physique, ... peuvent être restés "imprimés" dans la mémoire ancienne (dans les cellules du corps), soit ils sont restés figés dans la mémoire profond du cerveau... 

 

C’est là que je peux intervenir.

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Je peux aider l’animal à diffuser cette émotion négative, ce souvenir douloureux et ainsi à les laisser partir. Cela permet à l’animal de retrouver un équilibre émotionnel, mental et physique, un potentiel endormi et la sérénité !

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Il est toutefois important de prendre en compte le fait que les rencontres n’arrivent souvent pas par hasard et que notre animal est un miroir. Il met souvent en lumière ce que nous devons travailler sur nous-même. C’est une réelle relation de partenariat !